Organisation éthique

Depuis 2010, sous l’impulsion du Directeur général, l’éthique et la lutte contre la corruption se trouve au coeur du dispositif de gouvernance d’Eranove.

Pour Eranove, groupe citoyen et responsable en Afrique, pour l’Afrique et par l’Afrique, le compor­tement éthique constitue un lien de confiance entre l’entreprise et son environnement. Il représente l’une des conditions centrales de la pérennité des affaires.

Formalisé dans sa politique éthique et anticorruption, l’engagement du groupe Eranove se décline à trois niveaux :

Celui du groupe, par l’adhésion aux valeurs universelles et aux principes de protection des personnes, des biens et de l’environnement, ainsi que par l’animation des systèmes de gestion éthique.
Dans chacune des sociétés du groupe à travers la mise en place et l’animation des dispositifs de promotion de l’éthique et de la lutte contre la corruption.
Pour chaque collaborateur, en faisant vivre les valeurs du groupe au quotidien.

Dans le domaine de l’éthique, l’engagement ne se décrète pas mais se construit au sein de chaque société, en prenant en compte les valeurs, la culture et les enjeux spécifiques de l’activité. C’est pourquoi, tout en partageant des objectifs et valeurs communs, chaque société développe une organisation et un dispositif éthique et anticorruption spécifique qui évolue dans une démarche d’amélioration continue.

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632 070 € consacrés aux dispositifs de lutte anti corruption depuis 2020 dont 25% en 2023
12 489 collaborateurs formés et sensibilisés à l'éthique depuis 2020 dont 40% en 2023

La déclinaison du système de gestion éthique et anticorruption s’appuie sur :

  • Une cartographie des risques de corruption permettant d’identifier les activités à risque, de coter l’impact potentiel et la probabilité d’occur­rence de chaque risque.
  • Un plan de formation éthique couvrant en premier lieu les directions et s’étendant progressivement à tous les collaborateurs.
  • Un plan d’actions triennal placé sous la responsabilité d’un comité éthique déployé dans toutes les Directions,
  • Une sensibilisation en interne matérialisée par un large déploiement de supports de communication interne (affiches, chartes de bureau, calendriers, guide d’action éthique, parutions dans les lettres mensuelles, etc.).
  • Des dispositifs d’alerte éthique par « boîte à idées », email, numéro vert ou via la plateforme web groupe dédié (Whistle B).
  • En complément de la conformité réglementaire, notamment à la Loi dite « Sapin II », l’objectif est de faire certifier ces systèmes selon la norme ISO 37 001 relative aux systèmes de management anti-corruption. Première étape vers cet objectif, la CIE a confirmé son rôle de pionnière en Afrique en faisant évaluer en avril 2017 son système de gestion de la conformité selon le référentiel ISO 19 600.